Le temps démasque. Toujours. Le CPT, après des effets de manches, a finalement accepté l’évidence: son échec. La dégradation de la situation sécuritaire - fait objectif et/ou parfait prétexte- n’a pas permis la réalisation d’un référendum constitutionnel et retarde encore l'annonce de la date pour la tenue d’élections générales pour remettre le pouvoir à des élus le 7 février 2026.&nb
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