Quatre heures de l’après-midi. Au sixième étage du bâtiment de la Délégation permanente d’Haïti auprès de l’UNESCO, rue Bonvin, dans le quartier de la Tour Eiffel, je retrouve Lilas Desquiron. C’est le lendemain d’un hommage vibrant rendu à Frankétienne, le mardi 17 juin. L’ambassadeure d’Haïti, ancienne ministre de la Culture, ethnologue et écrivaine, est assise en face de moi. Mon enregistreur posé sur
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous