Le lendemain de la soirée hommage à Frankétienne, encore ému par l’empreinte poétique qu’il avait laissée, lundi 16 juin, à l’Unesco, j’ai franchi les portes vitrées du 31, rue François Bonvin. Là, au sixième étage du Bâtiment Bonvin, un peu à l’écart du tumulte parisien, je m’apprêtais à rencontrer une femme qui, elle aussi, fait rayonner Haïti à sa manière : Lilas
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