Aucune discussion sur les vraies préoccupations de la population. Aucune mise en perspective de solutions à la crise sécuritaire. Aucune considération pour le volumineux Code pénal ou pour le Code de procédure pénale. Ni sur l'important décret référendaire. Rien sur rien d’urgent. Après trois mois sans se rencontrer, les membres du Conseil présidentiel et le gouvernement ont tenu le 24 juin dernier un Conseil des ministres qui n’au
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