Au cœur de sa critique se trouve la question de la propriété foncière. Michèle Oriol considère comme « irresponsable » la manière dont ce sujet est traité dans l’avant-projet. Elle juge que le droit de préemption mentionné n'a pas sa place dans un texte constitutionnel, mais devrait être encadré par des lois spécifiques sur l'urbanisme, notamment dans le cadre d’un remembrement. Selon la sociologue, cette
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