Contrairement à ce qui était prévu par le gouvernement, les écoles publiques ne sont pas encore prêtes pour recevoir les élèves pour l’ouverture des classes le 1er octobre. Les démarches entreprises par le gouvernement pour évacuer les déplacés qui occupent ces établissements scolaires sont jusque-là vaines. Beaucoup de réfugiés sont toujours logés dans des écoles publiques, dont le lycée Marie Jeanne, le
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