Dans les coins devenus gares routières et dans les stations privées des compagnies d'autocars, les gens font la queue à longueur de journée. Ils cherchent tous un billet pour quitter la capitale. Si certains vont attendre le temps d’une accalmie, d’autres, à les entendre parler, décident d'abandonner définitivement Port-au-Prince. Une situation qui aura des impacts profonds sur les déplacés dont certains n’ont aucun pied à terre dans les zo
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