Depuis le jeudi 7 mars 2024, je vis en pleine panique. La situation s’est détériorée sur la route de l’aéroport et ses environs. De chez moi j’entends des sons de cartouche de plus en plus fort. Ça me donne froid dans le dos. Personne n’est à l’abri des balles. Les avions non plus. Les chiens non plus. Sur la route, les êtres et les choses ne sont pas épargnés.
Des flots de questions me trottent par la tête : « Eske se zòn lakay mwen yo anvayi? Si gen kouri ki kote m ap fè? M ta al an pwovens. Tout wout bloke, ki kot
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