“Mwen bezwen youn, de, twa, kat senk moun ki pou mache pran lavi, senk, dis, kenz, ven, trant mil moun, tank nou plis tant nou an fòs…”. Il avait écrit cet appel au rassemblement à New York. Jaloux et fier de son œuvre qu’il craignait de voir travestir par des interprétions non conformes à son goût, il n’était pourtant pas obsédé par la gloire. Il est mort il y a quelques jours à Jacmel, sans doute le plus méconnu des chansonniers haïtiens.
Pourtant une des chansons qu’il a écrites appartient au patrimoine national. « M
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