Qu’est-ce donc que ce ton de “vivi dodo la chay nan do » ? De « vivi bann machwè » de « ti Jezi nan po krab » pleurant dans les jupes de sa mère. De « petevi » à court de mots.
C’est pour le moins irrespectueux envers un peuple qui attend et dit de plus en plus clairement ce qu’il veut et ce dont il ne veut plus.
Quand le PHTK fédérait les gangs sous l’œil bienveillant de madame La Lime, le peuple, en particulier celui qui habite les quartiers pauvres et qui est la première victime des gangs, les dénonçait.
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