Un artiste meurt. Depuis, tout le monde l’avait écouté, compris, aimé. Il y a beaucoup d’absents dans certaines formes de la musique haïtienne. Ce n’est pas souvent qu’on y entend « ti machann yo k ap desann pou y al goumen ak lavi chè ». Dans cette hybridité ou cette polyvalence qui faisait son art, il y avait de la place pour les oublié(e)s. C’est aussi cela qu’il ne faudra pas oublier.
Il pleut. Ariel Henry, les gangs, le choléra…
Une phrase par un invité qui n’a pas sa langue dans sa poche.
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