Sans blague! Le Premier ministre de facto est « révolté » par la mort d’une mère et de ses deux filles. Pourquoi a-t-il attendu ce crime pour être révolté ? Le crime est certes odieux, impardonnable. Mais il n’est qu’une séquence d’une série dont les épisodes se sont multipliés depuis l’imposition d’Ariel Henry comme chef d’un exécutif qui ne rend compte qu’à lui-même.
Monsieur le Premier ministre, c’est à nous d’être révoltés contre un pouvoir de facto qu’aucune réussite ne caractérise. Depuis un an et quelques mo
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