On peut s’étonner des sarcasmes et du scepticisme par lesquels certains ont accueilli le consensus politique signé entre les représentants de l’accord dit du Montana et ceux du regroupement dit de l’Entente nationale. On ne peut se plaindre de l’absence d’un consensus large pour sortir le pays du marasme dans lequel la parodie démocratique cautionnée par la communauté internationale et le néo-jean-claudisme du PHTK l’ont plongé, et, dans le même temps, se moquer des efforts qui sont faits pour aller vers ce consensus.
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