Violence, pauvreté, injustice sociale, peur. On ne sort plus que pour des raisons médicales ou affronter la lenteur de telle administration. Ou parce qu’il n’y a rien dans la maison qui n’est pas tout à fait une maison où règne la promiscuité.
On compte les vies emportées par la violence, on écoute les tergiversations et manigances des politiques. On s’inquiète de l’opportunisme de tel, du manque de conviction de tel autre. On s’étonne, ou on ne s’étonne même plus du vide qu’il y a dans beaucoup de propos. On sait depui