À la suite de ce drame, le Conseil présidentiel de transition (CPT) a exprimé sa « profonde indignation » face à ces actes qualifiés de « barbares ». « [Le CPT] exprime sa solidarité avec toutes les victimes directes ou indirectes de cette tragédie, dont les maisons ont été pillées, les entreprises dévastées et les biens volés », a réagi l’institution dans une note de sympathie publiée dans
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