Il n'y a eu ni miracle, ni magie, mercredi soir, sur la mythique pelouse du Santiago Bernabéu. Et la mission, jugée de moins en moins improbable à chaque heure qui passait dans la capitale espagnole, s'est avérée impossible, même pour le Roi d'Europe, spécialiste des renversements les plus épiques dans "sa" compétition.
Arsenal, contrairement au Bayern Munich l'an passé, à Manchester City, à Chelsea, ou au Paris Saint
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