En Ayiti, les jours se suivent et se ressemblent. Sa chute vertigineuse se poursuit. Alors qu’elle s’enfonce dans une crise constitutionnelle, due plus précisément à une mésinterprétation de l’article 134-2 de la Constitution de 1987 amendée, l’heure est venue, pour chaque compatriote, d’analyser en profondeur les vrais problèmes du pays. Alors que la presse internationale ne cesse que de traiter la terre de Dessalines de tous les noms ignominieux, il convi
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous