Des craquements sinistres et le silence des cimetières ?

Une guerre civile qui ne dit pas son nom Après avoir fait de Port-au-Prince une ville fantôme, notamment le bord de mer, le bas de la ville et une bonne partie du centre-ville, les bandits et gangs armés s’acharnent contre les principales artères desservant le nord et le sud de la capitale nationale d’Haïti.

Jean-Marie Beaudouin; coifopcha@yahoo.com
08 avr. 2025 — Lecture : 5 min.

Une guerre civile qui ne dit pas son nom

Après avoir fait de Port-au-Prince une ville fantôme, notamment le bord de mer, le bas de la ville et une bonne partie du centre-ville, les bandits et gangs armés s’acharnent contre les principales artères desservant le nord et le sud de la capitale nationale d’Haïti. Ils ont aussi fermé l’Aéroport international de Port-au-Prince lorsqu’ils avaient attaqué par des tirs d’armes trois avions de ligne l&rs

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