Des craquements sinistres et le silence des cimetières ?

Une guerre civile qui ne dit pas son nom Après avoir fait de Port-au-Prince une ville fantôme, notamment le bord de mer, le bas de la ville et une bonne partie du centre-ville, les bandits et gangs armés s’acharnent contre les principales artères desservant le nord et le sud de la capitale nationale d’Haïti.

Une guerre civile qui ne dit pas son nom

Après avoir fait de Port-au-Prince une ville fantôme, notamment le bord de mer, le bas de la ville et une bonne partie du centre-ville, les bandits et gangs armés s’acharnent contre les principales artères desservant le nord et le sud de la capitale nationale d’Haïti. Ils ont aussi fermé l’Aéroport international de Port-au-Prince lorsqu’ils avaient attaqué par des tirs d’armes trois avions de ligne l&rs

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