« Je perds facilement le contrôle de moi-même. Parfois, je m’emporte contre ma femme, contre les enfants. Le moindre bruit me met en colère », a déclaré Jean Marc, 48 ans. « Mon moral s’est effondré depuis l’attaque des gangs dans notre quartier », a avoué celui qui s’est réfugié au camp de déplacés internes du Centre de débats de recherche et de formations (CEDREF) de
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