« D’une certaine manière, je regrette que l’on parle de l'hôtel Oloffson plutôt que de ce qui se passe dans le pays », a-t-il dit, en larmes. Cette déclaration illustre le dilemme d’un homme partagé entre une perte personnelle immense et un amour pour son pays toujours éveillé. Car pour Morse, l’incendie de l’Oloffson n’est qu’un écho d’une tragédie plus grande : le déclin d’une nation rongée
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