J’écris cette chronique dans une petite chambre au sous-sol d’une maison située à l’ouest de Montréal. Il y a un lit, pas trop grand. Un bureau. Une télévision que je n’utilise pas encore. En face de mon lit, une peinture naturaliste ; j’ignore le nom de l’artiste. De toute façon, ce n’est pas un génie. Sur mon bureau, une pile de livres que je suis en train de lire, de dévorer ou parfois de feuilleter avec désinvolture. Un
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