« Comment justifier une telle dépense pour un carnaval alors que la misère et la détresse sont omniprésentes dans notre pays ? » s’interroge l’association, qui dénonce l’« irrationalité » de cette décision. En effet, poursuit l'APEP plus de 85 % de la capitale est désormais sous le contrôle de groupes armés, et de nombreux territoires perdus continuent d'augmenter. Les écoles, tant publiques que privées,
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