« Le CPT doit résoudre son problème d’image et ses problèmes juridiques. La justice doit suivre son cours », a conseillé Pierre Marie Boisson, questionné sur l’inculpation de trois des neufs conseillers présidentiels pour corruption passive. Selon M. Boisson, le CPT est appelé à jouir des prérogatives présidentielles et est passible d’une instance judiciaire spéciale.
Alors que certaines voix récl
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