C’est dans une rue non loin des locaux de l’OPC que Renée passe ses journées, loin de sa maison à Solino, passée sous les flammes des bandits pyromanes qui ont envahi la zone où elle a vécu pendant 21 ans. Vêtue d’une robe bleu marine, assise sur un drap dans une rue à proximité de l’OPC servant à la fois de décharge d’immondices et de douche improvisée pour certains, c’est là que nous rencontrons Re
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