Le Nouvelliste : Vous avez écrit dans les premières pages de l’ouvrage, dans « Le couperet » : « Je suis donc condamnée à reconstituer le chemin de turpitudes vécu de 2009 à 2011 et d’en prendre toute la mesure » (p. 12). Peut-on considérer ces mots comme l’un des déterminants qui vous a conduit à écrire « Le ventre pourri de la bête » ?
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