« La prison ou le cimetière pour les gangs », prescrivent cinq organisations de la société civile

« La place des gangs armés qui terrorisent la population haïtienne se trouve à la prison ou le cimetière », ont tranché des organisations de la société civile, rejetant l’idée d’un éventuel dialogue du Premier ministre Conille avec des groupes armés. Ces organisations ont acheminé une lettre ouverte au chef du gouvernement Conille exprimant leurs diverses préoccupations.

En conférence de presse ce jeudi, Pierre Espérance, directeur exécutif du RNDDH, dit prescrire « zéro tolérance » à l’encontre des gangs armés sur le territoire national. « Leur place doit être à la prison ou au cimetière. Ce sont des terroristes qui ont fait déjà assez subir la population. Nous ne sommes pas d’accord qu’il y ait de négociations avec eux », a réagi le défenseur des droits hu

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