Fuyant la violence des gangs, les marchands créent des petits marchés un peu partout

La recrudescence de la violence des bandits armés depuis l'évasion de détenus des deux principaux centres carcéraux du pays a poussé certains marchands à abandonner leur lieu de commerce habituel pour s’installer dans d’autres espaces afin de défendre leur gagne-pain. Une tournée réalisée par Le Nouvelliste a permis de constater que des endroits comme l'avenue Lamartinière (Bois Verna), carrefour de l'aéroport et certains coins à Pétion-Ville rassemblent beaucoup plus de marchands que d’habitude.

John Smith Justin
Par John Smith Justin
12 avr. 2024 | Lecture : 3 min.

À Bois Verna, du carrefour Petit Four au local de l’Institut français, en passant devant le ministère de la Communication et la Faculté de linguistique appliquée, on a l’impression d'être dans un marché. On ne marche pas 3 mètres sans remarquer la présence d’un(e) marchand(e) qui étale ses produits sur le trottoir. Des produits cosmétiques, alimentaires, pharmaceutiques, entre autres, sont exposés aux yeux des usager

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