Les routes nationales, principales voies qui relient Port-au-Prince aux différents départements, sont sous le contrôle des bandits armés. Avant cette nouvelle recrudescence de la violence, beaucoup préféraient les avions pour se rendre dans les grandes villes du pays. Avec la fermeture de l’aérogare Guy Malary, le déplacement vers ces villes passe obligatoirement par les routes nationales.
« Les routes nationales sont bloquées depuis environ trois ans.
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