Le 7 février n’est plus. Comme souvent, les annonces n’ont pas été suivies d’effet. Le premier ministre Ariel Henry est toujours à son poste, le dialogue politique n’a pas avancé d’un pouce et l’escalade de la violence se confirme à travers le pays avec son cortège de victimes et de décapitations.
Manifestations, pillages, incendies, décès se sont multipliés depuis deux semaines pour culminer le 7 fév
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