À propos des récipiendaires de transferts de la diaspora, l’économiste Pierre-Marie Boisson a expliqué que ce sont, avant tout, des consommateurs. Ces derniers, poursuit-il, utilisent le transfert pour acheter des produits alimentaires, payer le transport, le loyer, les frais de scolarité de leurs enfants. « Fort de cela, il n’est pas logique de dire aux bénéficiaires ce qu’ils doivent faire de leurs transferts. C’est mieux d’avoi
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