« Cette décision de reprise n’a pas été facile parce qu’il n’y a pas de risque zéro que ce genre d’acte ne se reproduise. On l’a prise parce qu’on s’est entretenu avec toutes les autorités gouvernementales, policières, tous les porteurs d’armes, toutes les parties en conflit pour avoir une certaine garantie du respect de toutes les structures médicales et celles gérées par MSF en particulier. On a fait la balance entre
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