Le gouvernement du premier ministre Ariel Henry a fait son choix. Sans chercher à contenir les bandits qui les ont délogés de leur maison pour les pousser à chercher refuge devant les locaux de l'ambassade américaine, la police a chassé les réfugiés.
Les femmes, les enfants, les vieillards et les hommes vaillants devront trouver d'autres abris.
Le gouvernement a fait ce que requièrent les conventions diplomatiques, va-t-il maintenant
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