La thèse doctorale de Mibsam Jeannis fait 350 pages au total, divisées en quatre parties et réparties en huit chapitres. Le travail vise à faire « comprendre la logique de l’organisation territoriale inhérente aux transformations paysagères issues de l’abandon des anciennes exploitations agricoles », en prenant en compte plusieurs paramètres dont : l’étalement urbain, la démographie galopante et la demande constante d’appr
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