L’élan du mariage police-population qui a abouti à un calme apparent dans le pays a été freiné par le haut état-major de la police nationale, affirme Pierre Espérance. Comme conséquence, a-t-il dit, les gangs continuent d’imposer la terreur. « La police s’est sentie en confiance avec la population et vice versa. Malheureusement au début du mois de mai, l’ordre a été passé au plus haut niveau de la PNH pour cesser
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