Mon amitié avec Serge Gilles remonte au Paris merveilleux des années 60, celui de Mai 68, du général de Gaulle, d’Aragon, de Che Guevara… On se rencontrait au hasard de nos flâneries, et souvent il passait me voir chez moi, au 34 de la rue Gay-Lussac, là où la première barricade de Mai fut érigée.
Ce que j’aimais le plus chez Serge – lui aussi, hélas, nous a quittés - c’était son humour, son amour de
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