Au nord du rempart se dressent les montagnes vertes
La ville, à l’est, est ceinte par les eaux blanches
C’est ici même que nous allons nous séparer
Et commence pour chacun la longue marche solitaire
Les nuages flottants reflètent l’état d’âme du voyageur
Le soleil couchant comprend si bien les sentiments de l’amitié
Un geste de la main et à chacun sa route
Laissons les hennissements des chevaux entrer en résonance.
***
Pensées de nuit
le clair de lune lumineux
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