D’un certain point de vue, parler de cinéma en Haïti — et plus précisément de ce qui constitue la valeur d’un « bon film » — revient la plupart du temps à passer pour quelqu’un n’ayant pas toute sa raison. Sans qu’il s’agisse pour autant d’un manque lié aux rares espaces qui lui sont consacrés, la parole cinématographique — et plus largement, la réflexion sur son essence — peine à s’ex
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