« Frank, la mort de tout suit celle de l'espérance ...
C'est fini, mon ami ! … Le monde, oh ! quel égout
Où nos cœurs attristés promènent leur dégoût !
Notre jeunesse à tous est un vaste naufrage
Où nous ne pouvons plus aborder qu'un rivage,
Ce rivage inconnu qu'on appelle le ciel …
Etre les prisonniers du malheur éternel,
Sentir que l'on périt quand on rêvait de vivre,
N'avoir pour végéter que l'aliment du livre,
Nostalgiques esprits, vers de