Comme en 1986, comme à chaque changement de gouvernement depuis deux siècles, le pays, depuis 2021 et l’assassinat du président Jovenel Moïse, retrouve sa dynamique habituelle faite de crimes crapuleux, de prise de contrôle du territoire par des gangs armés, de destruction institutionnelle, de décapitalisation économique et sociale accélérée et d’appauvrissement massif des populations. La présence des Nations Unies et l’évolution des mœurs politiques surtout depuis le démantèlement de l’armée n’ont pas facilité la tâche à ceux qui voudrai
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