Par Monique Clesca
Au moment où il a accepté l’invitation du Président, il a été unanimement admis que grand-père Joseph Clesca avait fait la chose la plus dangereuse, la mauvaise chose et, finalement, la chose la plus destructrice pour la famille. Cette grave erreur allait déclencher quatre mois et demi frénétiques et ultimement mortels qui se sont déroulés entre le 13 mars et le 9 août 1915, au cours desquels mon père est devenu orphelin de son propre père et oncle, et mon arrière-grand-mère a perdu deux fils. Les événemen
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