Cela commence à devenir une habitude. On écrit des lettres et on monte des commissions quand on refuse les face-à-face pour résoudre les problèmes d’Haïti. La méthode longue est privilégiée par les acteurs de la crise.
A ce petit jeu sans conséquence pour les protagonistes, c’est l’accord de Montana qui a ouvert le bal. Lettre après lettre, il fait passer le temps sans aucune avancée.
L’accord de la Primature dit du 11 septembre, ne voulant pas rester en reste, lui aussi écrit des lettres. Des missives responsives.