Le Nouvelliste : Vous êtes le directeur artistique d'une association dénommée BALISAILLE. Vous venez de lancer le prix international de l’invention poétique et de la traduction en langues créoles. Présentez-nous ce projet.
Faubert Bolivar : À BALISAILLE il nous a paru nécessaire d’apporter notre contribution, aussi modeste soit-elle, au combat pour que la poésie continue d’exister, souverainement. Comme vous le savez, la poésie, alors qu’elle est un genre majeur, est paradoxalement le parent pauvre de l’éditio
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