Arnold Antonin sur les traces de Levoy Exil

Dans un court métrage intitulé « Wa Egzil nan lakou Levoy », produit avec le support de la FOKAL, Fondation Sogebank et Fondation Unibank, le réalisateur Arnold Antonin revient sur la vie, les traces et le destin du peintre Levoy Exil en le filmant, lui et ses proches sur la terrasse de sa maison à Thomassin.

Marc Sony Ricot
Par Marc Sony Ricot
08 nov. 2021 | Lecture : 3 min.

Dans un court métrage intitulé « Wa Egzil nan lakou Levoy », produit avec le support de la FOKAL, Fondation Sogebank et Fondation Unibank, le réalisateur Arnold Antonin revient sur la vie, les traces et le destin du peintre Levoy Exil en le filmant, lui et ses proches sur la terrasse de sa maison à Thomassin.

Avec une belle lumière, une ambiance qui déjoue les attentes, ce film est à la fois beau  et abouti avec un scénario imprévisible et mystérieux comme le peintre lui-même.

Le cinéaste Arnold Antonin

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