Ce sont douze histoires de confrontations, d’échanges, et d’errance. Les récits de « Si je contais ma ville » (Atelier Jeudi Soir, 2020) montrent des personnages qui, à un moment de leur vie, se croisent où se font face. Des êtres qui sont soudain pris par le besoin de parler, de raconter. C’est un recueil beaucoup plus pessimiste mais toujours porté par un impossible espoir. Il laisse place à la rage, à la colère
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous