Dimanche soir. J’ouvre la porte de mon appartement sur la rue Saint-Marc. Un besoin fou de lire quelque chose, irrésistible. J’ai été invité au Salon du livre afro-canadien. Mon sac et ma tête sont lourds. Il y a plus de livres à porter, plus de rêves à penser et plus de tendresse à donner. Lire, c’est aussi faire provision de tendresse. Tant d'histoires à raconter, tant de chemins à tracer, de vérités à écrire.
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous
