Jean Casimir, élégamment vêtu d’une guayabelle blanche sur un pantalon brun, accueille avec ses bras ouverts devant le portail pour indiquer l’entrée de son domaine. Il y a quelque chose d’un éden dans ce lieu magnifique, au cœur de la capitale surpeuplée et surchauffée : une mini-forêt tropicale rassemblant des bois précieux tels le gaïac et l’acajou, des arbres fruitiers notamment des avocatiers, quenettiers, manguiers (« corne » il précise), arbres à pain, et un aki jamaïcain, mais aussi des camélias, jacarandas, bougainv
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