Lundi 25 janvier. À Montrouis, aux portes de l’Artibonite, il est treize heures passé. Sur les trottoirs, au milieu d’autres piétons, une lycéenne de 16 ans, Jocelyne Julien, rentre chez elle. L’adolescente ne pouvait pas savoir que la mort serait au bout de ce geste simple qu’elle reproduit tous les jours après l’école.
Touchée au cou par une balle perdue, Jocelyne s’effondre et meurt sur le coup. Son sang encore vif coule dans le caniveau au moment où son corps encore chaud est filmé, photographié avec son
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