«La rue Gabart est ta principale maladresse» de Jean Emmanuel Jacquet, publié aux éditions Ruptures, en avril 2016, dans la collection l’Enraciné, est un long poème qui aura marqué des générations de lecteurs dans sa façon de camper le texte dans un seul lieu : Rue Gabart. C’est un bel exercice de sédentarisation ou d’enracinement. Jacquet, jongleur de mots et de vies, se méfie haut la main de l’esthétique nomade où des poètes s’amusent à parler de mille lieux en même temps et au milieu de tout cela, ils ne parlent, au final, d’a
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous