Cher JeanJean, permets que je parodie le titre de ton article sur les crimes de masse et les violences subies par des militants et des résidents des quartiers populaires. L’horreur des crimes devrait interpeler la conscience de tous, et c’est d’une seule voix que le pays devrait dire : « non, ce n’est pas acceptable ». Leur côté planifié, délibéré, révèle qu’il s’agit bien d’une politique. Et qui, habité par une once d’humanisme, peut souscrire à une telle politique ?
Pourtant, tu le dis
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