« Nou bouke », cris de détresse, de rage, et de colère contre l’insécurité et le viol sur des étudiantes

Bandana d’occasion vissée sur la tête, Pascale Solages s’effondre en sanglots avant d’être étreinte par une amie.

Jean Daniel Sénat
Par Jean Daniel Sénat
27 mai 2019 | Lecture : 4 min.

Bandana d’occasion vissée sur la tête, Pascale Solages s’effondre en sanglots avant d’être étreinte par une amie. La jeune femme, au premier rang d’une marche rassemblant plus d’un millier de participants, tente non sans peine, de délivrer l’un des discours de l’occasion. « Aujourd’hui nous marchons en compagnie de nos enfants, de nos amis, de nos collègues, de nos étudiantes, de nos ouvrières, de nos mères pour dénoncer les violences sexuelles, l’impunité et l’insécurité. Personne n’est épargnée. Nous en avons marre. Pour ceux q

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